
Et si changer de cadre, c’était la clé pour se sentir enfin chez soi ?
“Rester chez soi.” C’est ce que tout le monde souhaite en vieillissant et c’est ce qu’on entend partout : pour bien vieillir, il faut rester à la maison.
Et si le vrai défi, ce n’était pas de rester chez soi à tout prix…
… mais de se sentir chez soi, vraiment ?
Le mythe du “bien vieillir à domicile” : une idée rassurante… mais parfois dépassée
Pourquoi cette idée nous rassure tant
Le domicile est bien plus qu’un toit. C’est une mémoire.
Chaque pièce, chaque objet, chaque photo sur un mur raconte un pan de notre histoire.
On s’y sent libre. On s’y sent soi. Mais avec le temps, ce cocon peut changer de visage.
Derrière cette fidélité au “chez soi”, il y a souvent une peur : celle de perdre son autonomie, son identité, ou le contrôle de sa vie.
Quand le domicile cesse d’être synonyme de bien-être
Rester chez soi n’est pas toujours synonyme de liberté. Parfois, c’est une solitude silencieuse qui s’installe, des journées qui se ressemblent, un logement devenu trop grand, trop vide, ou tout simplement trop exigeant à entretenir.
Les proches s’inquiètent, les enfants s’épuisent, et la maison autrefois protectrice peut finir par devenir une contrainte.
Comme le dit si bien une résidente : “J’étais chez moi… mais je ne me sentais plus vraiment bien.”
Vieillir à domicile, oui — mais à condition que ce domicile reste un lieu de vie, pas d’attente.
Et si le vrai “chez soi” n’était pas qu’une question d’adresse ?
Repenser la notion de “chez soi”
Le “chez soi” n’est pas une adresse postale. C’est une émotion, se sentir à sa place, en sécurité, libre de ses choix.
C’est aussi pouvoir rire autour d’un café, partager un repas improvisé, ou simplement savoir que quelqu’un est là, pas loin, si besoin.
Sans oublier savoir que quelqu’un pense à vous, même sans frapper à votre porte.
Le vrai “chez soi” ne disparaît pas lorsqu’on change de lieu. Il se transporte avec soi, à travers les objets qu’on aime, les habitudes qu’on recrée, les liens qu’on tisse. C’est un sentiment intérieur, pas une géolocalisation.
Ce que partagent un domicile traditionnel et une Maison de Blandine
À la Maisons de Blandine on ne parle pas de “partir de chez soi”.
On parle de recréer ce sentiment, ailleurs, autrement.
- On garde son espace personnel, décoré à son goût.
- On vit à son rythme, sans contrainte.
- On retrouve la chaleur humaine, sans renoncer à son intimité.
- Et surtout, on partage la vie : les repas, les rires, les moments du quotidien.
Ici, on ne quitte pas son chez-soi : on le réinvente, entouré, apaisé, libre.
Découvrez en détails cette philosophie sur notre concept.
Être chez soi… ensemble
Être chez soi, ce n’est pas forcément être seul. C’est se sentir à sa place, dans un environnement qui nous ressemble.
À La Maisons de Blandine, on ne parle pas de “colocation senior”, mais de vie partagée : chacun chez soi, mais jamais isolé.
Parce qu’être entouré ne retire rien à l’intimité, au contraire, cela la nourrit.
Les Maisons de Blandine : une nouvelle façon d’habiter et de vieillir
Ni EHPAD, ni résidence classique : un lieu de vie à part
Les Maisons de Blandine ne sont ni des établissements médicalisés, ni de simples résidences services.
En effet, elles proposent un modèle différent : des logements privatifs à taille humaine, au cœur d’une communauté bienveillante.
Ici, on vit à son rythme, avec sa personnalité, tout en profitant d’une ambiance chaleureuse et familiale.
Chaque maison compte un petit nombre d'habitants : assez pour créer du lien, pas trop pour préserver l’intimité.
Et toujours, un accompagnement discret, humain, respectueux de l’autonomie.
Pour aller plus loin, lisez aussi : “Qu'est-ce qu'un habitat partagé pour personnes âgées”
Des lieux de vie, pas seulement des logements
Dans ces maisons, la vie quotidienne reprend des couleurs. On partage un repas, une balade, une histoire, on rit beaucoup, on s’entraide sans se forcer.
Le lien social n’est pas organisé : il est naturel, spontané, vivant.
Et c’est cette simplicité qui fait la différence.
Les habitants ne parlent pas de “structure” ou de “résidence” — ils disent simplement : “Ici, je me sens bien. C’est chez moi.”

Le “chez soi” retrouvé
Changer de cadre, ce n’est pas renoncer à son identité, c’est lui offrir un nouveau souffle.
Dans ces Maisons à taille humaine, on retrouve l’essence du chez-soi : la chaleur, la sécurité, le lien et la liberté.
Parce qu’au fond, le vrai chez-soi, ce n’est pas là où l’on a toujours vécu.
C’est là où l’on continue à bien vivre.
Et si le meilleur moyen de se faire une idée, c’était d’essayer ?
On peut en parler, en débattre, en rêver… Mais rien ne remplace l’expérience.
Rien ne vaut le fait de pousser la porte, de rencontrer les résidents, d’échanger, de ressentir l’atmosphère d’une Maison de Blandine.
Le mieux pour savoir si l’on s’y sentirait bien ?
C’est d’y venir, tout simplement.



