
Et si, en vieillissant, une des questions les plus importantes n’était pas :
« Où vais-je habiter ? » …mais plutôt : « Et mon compagnon à quatre pattes, qu’est-ce qu’il devient ? »
On parle souvent du domicile, de l’autonomie, de la sécurité, des solutions d’hébergement.
Mais dans les discussions réelles avec les seniors et les aidants, un sujet revient toujours : l’animal de compagnie.
Le chien qui attend derrière la porte, le chat qui dort au bout du lit, le compagnon silencieux qui occupe, apaise, rassure, parfois plus qu’on n’ose l’admettre.
Parce que vieillir, oui. Mais vieillir sans son animal… ça ne devrait jamais être un choix à faire.
Vieillir avec son animal : un sujet qu’on sous-estime (et qu’on repousse trop longtemps)
On ne le dit pas assez, mais les seniors sont parmi les profils les plus attachés à leur animal. Un attachement affectif puissant, un lien quotidien, une présence chaleureuse dans les moments calmes comme dans les moments difficiles.
Et c’est aussi, très souvent, l’un des derniers repères stables.
Alors quand arrive la question d’un changement de logement — pour plus de confort, plus de sécurité ou simplement moins d’isolement, une peur surgit immédiatement :
« Est-ce que je vais pouvoir emmener mon animal ? »
Certaines structures l’acceptent difficilement. D’autres disent non. Et entre les deux… beaucoup de seniors renoncent à déménager.
Non pas parce qu’ils ne veulent pas être aidés, mais parce qu’ils ne veulent pas être séparés. Et on les comprend.
On ne devrait pas avoir à choisir entre sa sécurité… et son animal.
👉 À lire en complément : **Bien vieillir chez soi (mais pas seul)
Pourquoi les animaux jouent un rôle essentiel dans le bien vieillir
On pourrait lister des chiffres. On pourrait citer des études.
Mais la vérité, les seniors la connaissent d’instinct : vivre avec un animal, c’est vivre mieux.
Un animal apporte :
- du rythme (heures de repas, promenades, habitudes),
- de la présence constante,
- de l’apaisement émotionnel,
- une raison de se lever, de sortir, de s’engager,
- un lien quotidien qui rompt l’isolement.
Il existe même une réalité qu’on entend souvent lors des visites : « Je reste chez moi surtout pour mon chat / mon chien. »
Et si, finalement, le “maintien à domicile à tout prix”… n’était pas toujours pour soi, mais pour lui ? C’est dire à quel point le sujet est crucial.
Habitat partagé : enfin une solution qui ne sépare pas les duos humains–animaux
Dans un Habitat partagé, l’animal n’est pas un invité toléré. Il fait partie de la maison, naturellement, simplement, comme n'importe quel domicile.
C’est toute la différence entre un logement où l’on “accepte” les animaux… et un lieu de vie où l’on comprend ce qu’ils représentent.
À La Maison de Blandine, les animaux sont les bienvenus, et cela change tout.
Parce que nos Maisons ne sont pas des établissements. Ce sont des domiciles à taille humaine, chaleureux, vivants.
Des lieux où chacun , humain ou animal, trouve sa place.
Pas de règlements froids, ni de contraintes inutiles, juste du bon sens, de la convivialité et du respect.
Découvrir nos Maisons.
Comment ça se passe concrètement à La Maison de Blandine ?
Très simplement. Comme à la maison.
Le chat de Mme R. s’installe presque tous les après-midis sur le fauteuil près de la baie vitrée — il profite du soleil, et de quelques caresses au passage.
Le petit chien de M. T. est devenu le plus assidu des spectateurs de la gym douce du lundi.
Certains animaux deviennent de véritables mascottes.
D’autres restent discrets.
Mais tous ont un point commun : ils apaisent, ils réjouissent, ils relient.
Les équipes, elles, sont présentes sans être intrusives :
- aide légère si besoin,
- surveillance douce pour éviter les risques,
- conseils si l’animal vieillit lui aussi.
Personne ne se substitue au maître : le lien reste intact.
👉 À découvrir aussi : La vie quotidienne dans l’habitat partagé.
Animal + Habitat partagé = un déménagement qui ne coupe aucun lien. Au contraire
Déménager seul peut-être difficile.
Déménager à deux, humain + animal, cela change tout.
Parce que l’animal garde ses repères : son panier, sa routine, sa présence, ses habitudes, et l’habitant, lui :
- conserve son rôle,
- garde son utilité,
- reste responsable de quelqu’un,
- continue d’aimer, de s’occuper, d’interagir.
Résultat ? Le lien social se renforce. Le quotidien se réenchante. Le logement devient un lieu vivant, vraiment.
Et si ce n’était pas seulement l’habitant qui s’intégrait bien ?
Bien vieillir, c’est aussi vieillir avec ceux qui comptent (à quatre pattes compris)
Un domicile, ce n’est pas seulement un toit, c’est une histoire, des habitudes, des objets, des photos, des souvenirs, et très souvent… un animal qui a accompagné des années entières de vie.
Changer de lieu ne devrait jamais signifier renoncer à cela.
À La Maison de Blandine, nous défendons une idée simple : le bien vieillir ne doit jamais séparer les duos qui s’aiment.
Ici, animaux et habitants trouvent un nouveau “chez eux”. Paisible, chaleureux, vivant.
Un domicile qui fait du bien. À deux.
Envie d’en parler pour vous ou pour un proche ?

